Parisot : dérivé de Paris, nom de baptême qui représente la forme populaire de Patrice, issu du nom latin patricius, c'est-à-dire le patricien, celui qui appartient à la noblesse. — Filae.
Sur ma page consacrée à Dalida, j’ai conservé le commentaire d’un dément qui affirmait que c’est le physique qui fait le Juif et qui citait, à l’appui de sa thèse, divers détails physiques plus incongrus les uns que les autres qu’il prétendait retrouver chez telle ou telle personnalité – entre autres des personnalités qui, en réalité, ne sont pas juives, comme Nathalie Kosciusko-Morizet... et Laurence Parisot.
Au vu des noms, c’est non ! |
Son père, Michel Parisot, est le fils de Jacques Parisot et de Suzanne Pruneaud.
Sa mère, Jeannine, née Clet, elle est la fille de Roger Clet et d’Hélène Rancher.
Hélène Rancher, la grand-mère maternelle de Laurence Parisot, était la fille de Raphaël Rancher et de Juliette Droineau, elle-même fille de Maxime Droineau et de Justine Chauvelin.
On conviendra, je pense, que parmi tous les patronymes qui précèdent, aucun ne suggère une ascendance juive.
Si vous avez lu mes articles précédents, en particulier ceux concernant Orson Welles et Maria Pacôme, dans lesquels je me base sur la théorie des probabilités, vous savez maintenant pourquoi il y a zéro chance que Laurence Parisot soit juive.
Sources : Filae ; Geneanet, sur Laurence Parisot et sur sa grand-mère maternelle.