Le 26 novembre 2023, sur Facebook, une personne de mes contacts reproduisait une publication sur László Biró, considéré comme l’inventeur du stylo à bille, en précisant que cet inventeur était un Juif hongrois. Comme quelqu’un écrivait en commentaire que le brevet avait été revendu au baron Bich, elle lui répondit : « Lui-même juif. »
Voyons ce qu’il en est vraiment du fondateur de la marque Bic. Marcel Bich, dit le baron Bich, était le fils d’Aimé-Mario Bich et de sa seconde épouse, Marie Muffat de Saint-Amour de Chanaz. Avec un tel nom, on se doute que sa mère n’était pas juive.
Du côté paternel, le titre de baron avait été accordé à son arrière-grand-père Emmanuel Bich, syndic d’Aoste, par le roi Charles-Albert de Sardaigne, duc de Savoie.
En outre, la sœur de Marcel Bich se prénommait Marie-Thérèse, un prénom typiquement chrétien. On imagine bien mal des Juifs appelant ainsi leur fille.
Marcel Bich avait épousé Louise Chamussy. Après le décès de celle-ci, il s’était remarié avec Jacqueline de Dufourcq, puis avait divorcé et s’était remarié une nouvelle fois avec Laurence Courier de Méré. Aucun de ces trois noms ne suggère une appartenance juive.
Terminons, comme il se doit, par la sépulture de l’intéressé, qui est évidemment une sépulture chrétienne. Elle se trouve dans le cimetière de Rhuis, derrière l’église.
Sources : Landru Cimetières ; Wikipedia ; YouTube.
Voyons ce qu’il en est vraiment du fondateur de la marque Bic. Marcel Bich, dit le baron Bich, était le fils d’Aimé-Mario Bich et de sa seconde épouse, Marie Muffat de Saint-Amour de Chanaz. Avec un tel nom, on se doute que sa mère n’était pas juive.
Le style haut d’un distingué baron |
En outre, la sœur de Marcel Bich se prénommait Marie-Thérèse, un prénom typiquement chrétien. On imagine bien mal des Juifs appelant ainsi leur fille.
Marcel Bich avait épousé Louise Chamussy. Après le décès de celle-ci, il s’était remarié avec Jacqueline de Dufourcq, puis avait divorcé et s’était remarié une nouvelle fois avec Laurence Courier de Méré. Aucun de ces trois noms ne suggère une appartenance juive.
Terminons, comme il se doit, par la sépulture de l’intéressé, qui est évidemment une sépulture chrétienne. Elle se trouve dans le cimetière de Rhuis, derrière l’église.
Sources : Landru Cimetières ; Wikipedia ; YouTube.