mercredi 28 août 2024

Maria Pacôme, pas comme si...

Pacôme le Grand, Pacôme de Tabennèse [...] (en latin Pachomius Tabennisiensis ou Tabennensis [...]) est généralement considéré comme le fondateur du cénobitisme chrétien [...] — Wikipedia.

Simone Pacôme, dite Maria Pacôme, fut l’épouse de Maurice Ronet, de son vrai nom Maurice Robinet.

Pacôme si elle l’était !

Elle était la fille de Maurice Pacôme, chauffeur mécanicien originaire de Bayonne.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le père de Maria Pacôme fut déporté au camp de Buchenwald et son frère fut fusillé.

Est-ce pour cela que certains ont cru qu’elle était juive ? Allez savoir.

Sa mère s’appelait Germaine Hivonait et était couturière. Elle était la fille de Juliette Boué, elle-même fille de Louise Beauchêne.

Aucun des noms de famille qui précèdent ne suggère une ascendance juive.

En vertu des lois de probabilités conditionnelles, on peut donc estimer que la probabilité que Maria Pacôme ait été juive est inférieure à 0,0001 % (je me tiens à la disposition de mes contradicteurs pour en faire la démonstration mathématique).

Ce qui revient à dire qu’il y a plus de 99,9999 % de chances que Maria Pacôme n’ait jamais été juive de sa vie.


Sources : Geneastar ; Wikipedia et sources afférentes.

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