Le général Pierre Kœnig a été le fondateur et l’administrateur d’un comité France-Israël, lequel a fusionné en 1986 avec l’association France-Israël, anciennement France-Palestine, pour donner l’association France-Israël – Alliance Général Kœnig.
Comme ce prestigieux militaire, qui avait été chargé de l’arrestation de Pétain, portait un nom à consonance germanique, et sachant qu’il existe des Juifs qui portent ce nom ou l’une de ses variantes, il n’est pas surprenant que certains se soient imaginé qu’il était juif lui-même.
Naturellement, il n’en est rien. Issu d’une famille d’origine alsacienne, Pierre Kœnig, dont l’état-civil complet est Marie Joseph Pierre François Kœnig, était le fils de Joseph Kœnig, facteur d’orgues, et d’Ernestine Mutin (voir, par exemple, Wikipedia).
À Caen, il avait étudié chez les frères du collège Saint-Joseph avant d’entrer au lycée Malherbe, et il avait participé aux activités d’un patronage paroissial.
Comme je l’ai rappelé à propos de Maurice Ravel, la plupart des personnalités françaises qui avaient manifesté leur soutien à la renaissance de l’État juif sur sa terre n’étaient pas des Juifs.
On notera dans l’état-civil du héros de Bir-Hakeim le prénom Marie, suivi de Joseph. Je l’ai expliqué à propos d’Alain Juppé, il est impossible que des parents juifs donnent à un garçon un prénom féminin, a fortiori le prénom Marie qui, dans ce contexte, fait évidemment référence à la mère de Jésus-Christ.
En outre, ce prénom, Marie, figure aussi dans l’état-civil de la mère du général Kœnig, Ernestine Mutin, laquelle était une chrétienne très pieuse issue de deux parents chrétiens.
Enfin, on notera également, dans l’état-civil de Pierre Kœnig, la présence du prénom de son père. Une fois de plus, à propos des fils qui portent le même prénom que leurs pères, je renvoie le lecteur à mes articles précédents.
Comme ce prestigieux militaire, qui avait été chargé de l’arrestation de Pétain, portait un nom à consonance germanique, et sachant qu’il existe des Juifs qui portent ce nom ou l’une de ses variantes, il n’est pas surprenant que certains se soient imaginé qu’il était juif lui-même.
Jésus Marie Joseph... |
À Caen, il avait étudié chez les frères du collège Saint-Joseph avant d’entrer au lycée Malherbe, et il avait participé aux activités d’un patronage paroissial.
Comme je l’ai rappelé à propos de Maurice Ravel, la plupart des personnalités françaises qui avaient manifesté leur soutien à la renaissance de l’État juif sur sa terre n’étaient pas des Juifs.
On notera dans l’état-civil du héros de Bir-Hakeim le prénom Marie, suivi de Joseph. Je l’ai expliqué à propos d’Alain Juppé, il est impossible que des parents juifs donnent à un garçon un prénom féminin, a fortiori le prénom Marie qui, dans ce contexte, fait évidemment référence à la mère de Jésus-Christ.
En outre, ce prénom, Marie, figure aussi dans l’état-civil de la mère du général Kœnig, Ernestine Mutin, laquelle était une chrétienne très pieuse issue de deux parents chrétiens.
Enfin, on notera également, dans l’état-civil de Pierre Kœnig, la présence du prénom de son père. Une fois de plus, à propos des fils qui portent le même prénom que leurs pères, je renvoie le lecteur à mes articles précédents.